Le madit n° 38 du 26 octobre 1999

J'INYERVIENS RAREMENT SUR CE SUJET. JE VAIS VOUS REPONDRE AVEC COLERE, CERTES (COMPTE TENU DU TON QUE VOUS EMPLOYEZ), MAIS AUSSI AVEC FRANCHISE, SANS AIGREUR NI ANIMOSITE. OUI, J'AI DEMANDE A CE CHE RCHEUR, QUI METTAIT CETTE FONCTION DE TE LECHARGEMENT A LA DISPOSITION DES CONNEC TES SUR SON SITE WEB, DE LA SUPPRIMER. LI L'A FAIT IMMEDIATEMENT, CE QUI NE M'A PAS ETONNE CAR C'EST UNE PERSONNE RESPON SABLE ET SERIEUSE. JE L'EN REMERCIE BIEN VIVEMENT ICI. VENONS-EN MAINTENANT A MON COUP DE GUEUL E : CE N'EST PAS MA REACTION QUI EST LI- BERTICIDE, MAIS VOTRE REMARQUE ! ELLE PORTE EN ELLE LE GERME QUI, A TERME, AU- RA LA PEAU DE LA FAMEUSE LIBERTE D'EXPRE SSION A LAQUELLE VOUS TENEZ TANT (ET MOI AUSSI). VOUS PENSEZ QU'IL EST JUSTE QU' UN CHERCHEUR, ARGUANT DU FAIT QUE QUELQU 'UN D'AUTRE A PAYE POUR SE CONNECTER SUR MAXVAL, PUISSE DISPOSER GRATUITEMENT DE MON TRAVAIL - PROTEGE PAR UN COPYRIGHT - EN SE CONNECTANT SUR TEL OU TEL SITE INTERNET ? DANS CE CAS, VOUS TROUVEREZ TOUT AUSSI NORMAL, SANS DOUTE, QU'UN IN- DIVIDU DIFFUSE GRATUITEMENT UN ROMAN SUR LE NET SOUS PRETEXTE QU'IL A ACHETE UN EXEMPLAIRE DU LIVRE CHEZ SON LIBRAIRE ! SI C'EST CE QUE VOUS PENSEZ, ALORS TOUT ESPOIR EST PERDU, CAR TOT OU TARD, CETTE LIBERTE ANARCHIQUE OBLIGERA LES GOUVER- NEMENTS A LEGIFERER ET A PONDRE DES LOIS RESTRICTIVES. EN PRONANT, COMME VOUS LE FAITES, LE TOUT ET N'IMPORTE QUOI SUR L'INTERNET SOUS LE COUVERT DE LA LIBERTE D'EXPRESSION - Y COMPRIS LE DROIT DE LESER LES GENS ET D'INCITER DES TIERS A COMMETTRE DES DELITS - VOUS FINIREZ PAR OBTENIR CE QUE VOUS REDOUTEZ : LA REGLE-