Le madit n° 33 du 21 octobre 1998

NON, ILS N'AURAIENT PAS ENTRAINE DE RE- FUS, SAUF S'ILS ETABLISSAIENT DES "PASSE RELLES" ENTRE LES ENIGMES (QUESTIONS AUX QUELLES JE NE REPONDS PLUS DEPUIS LE 1ER JANVIER), S'ILS COMMENCAIENT PAS "A-T-ON DEJA RENCONTRE TEL ELEMENT AUPARAVANT ?" (QUESTIONS AUXQUELLES JE NE REPONDS PLUS DEPUIS QUELQUES SEMAINES), ET "QU'APPE- LEZ-VOUS "CONSTRUCTIONS HUMAINES" ?" (QUESTION A LAQUELLE JE NE REPONDS PLUS PARCE QUE MES REPONSES, QUELLES QU'ELLES SOIENT, INDUISENT TOUT LE MONDE EN ER- REUR.) ET BIEN SUR, DEPUIS LE 1ER JOUR, JE NE REPONDS PAS AUX QUESTIONS DE SUBST ITUTION ("PEUT-ON REMPLACER CECI PAR CE- LA ?")... VOILA LES LIMITES QUE JE METS. MAINTENANT, SI VOUS ME DEMANDEZ DE VALI- DER UNE DEMARCHE DE DECRYPTAGE OU UNE SOLUTION, IL EST EVIDENT QUE JE NE POUR- RAI PAS REPONDRE. DIALOGUE PRIVILEGIE : JUSTEMENT, JE NE PEUX PAS ETABLIR DE DIALOGUE PRIVILEGIE AVEC UN CHERCHEUR, EN EN PRIVANT LES AU- TRES. C'EST CELA QUI NE SERAIT PAS JUS- TE. JE NE RECHERCHE PAS DE DIALOGUE PRI- VILEGIE, AU CONTRAIRE, JE FAIS TOUT POUR NE PAS L'ETABLIR. RIEN DE PERSONNEL LA DEDANS, MAIS CE QUE JE REFUSE A TOUS, JE NE PEUX PAS L'ACCORDER A UN SEUL, ET REC IPROQUEMENT. AMITIES -- MAX