Le madit n° 49 du 28 août 1997

JE NE PEUX PAS COMMENTER VOS SOLUTIONS, GANDALF. MAIS SI VOUS PENSIEZ QUE LA CHOUETTE ETAIT SUR UN CHEMIN CONSTRUIT PAR LA MAIN DE L'HOMME, SUR UN TERRAIN EN FORTE PENTE, IL Y A UN PROBLEME. POUR LE TERRAIN EN PENTE, JE SUIS TRES ETONNE CAR J'AI DIT UN NOMBRE INCALCULABLE DE FOIS ICI-MEME QUE LE TERRAIN ETAIT "RE- LATIVEMENT PLAT, NON ACCIDENTE, ET FA- CILE D'ACCES POUR QUI POSSEDE DEUX JAM- BES EN ETAT DE MARCHE". (TEXTUEL). IL ARRIVE PARFOIS QUE CERTAINES REPONSES QUE JE FAIS - ET QUE JE FAIS DEPUIS LONG TEMPS- DETRUISENT SOUDAIN UNE THEORIE ECHAFAUDEE PAR UN CHERCHEUR, LEQUEL S'ETONNE ALORS NE N'ETRE PAS AU COURANT. IL SE PEUT QUE, L'AYANT LUE D'UN OEIL DISTRAIT IL Y A UN AN, IL L'AURA OUBLIEE JUSQU'AU JOUR OU QUELQU'UN D'AUTRE ME POSERA LA MEME QUESTION. DECOUVRANT ALORS MA REPONSE, CE CHERCHEUR L'APPLI- QUERA A SA SOLUTION DU JOUR POUR S'APER- CEVOIR QU'ELLE LA DETRUIT... CELA EST DEJA ARRIVE A PLUSIEURS REPRISES. JE SAIS EXACTEMENT QUELLES REPONSES J'AI FAITES, MEME SI JE NOTE NI LA DATE NI LES NOMS NI LES PSEUDOS DES CHERCHEURS AUXQUELS JE LES AI FAITES. JE PEUX AVOIR UN DOUTE SUR UN POINT EN PARTICULIER, MAIS PAS QUAND JE REPONDS A PLUSIEURS REPRISES A LA MEME QUESTION... BREF, POUR EN REVENIR A VOTRE QUESTION, JE NE PEUX VRAIMENT PAS COMMENTER CE QUE VOUS DITES. UNE REPONSE SPECIFIQUE DE MA PART IMPLIQUERAIT UNE RECONNAISSANCE DE VOS THEORIES, ET CA, JE NE LE PEUX PAS. POUR VOTRE TON, JE NE LUI TROUVE RIEN DE CHOQUANT, BIEN AU CONTRAIRE. AMITIES -- MAX