Le madit n° 21 du 6 août 1997

CALLIMERO, SI JE VOUS AVAIS PAR EXEMPLE TRAITE "D'ABRUTI" PARCE QUE VOUS N'AVEZ PAS SIGNE VOS PRECEDENTS MESSAGES, VOUS AURIEZ A JUSTE TITRE PU ME FAIRE REMAR- QUER L'ABSENCE DE RAPPORT ENTRE L'INJU- RE ET CE QUI LA MOTIVE. VOUS, VOUS M' AVEZ TRAITE DE MENTEUR PARCE QUE JE REFU SE DE DIRE SI J'AI UN JOUR MIS LES PIEDS A DABO. EH BIEN, LA NON PLUS, IL N'Y A AUCUN RAPPORT ENTRE L'INJURE ET CE QUI LA MOTIVE. J'AI PRECISE DE NOMBREUSES FOIS QUE J'AVAIS VISITE TOUS LES SITES DIRECTEMENT CONCERNES PAR UNE SOLUTION, MAIS IL N'Y A AUCUNE RAISON QUE L'ON SE SERVE DE CETTE PRECISION POUR ME FAIRE DIRE SI JE SUIS ALLE OU NON A DABO. ME TRAITER DE MENTEUR POUR CETTE RAISON, C'EST ASSEZ DIFFICILE A SUPPORTER. LA CHALEUR AMBIANTE N'A RIEN A VOIR DANS CETTE HISTOIRE ; SIMPLEMENT, JE N'AI PAS POUR HABITUDE DE ME LAISSER MARCHER SUR LES PIEDS. QUANT A CETTE POLEMIQUE, JE SUIS D'ACCORD AVEC VOUS, ELLE EST STE- RILE. AUSSI JE VOUS SUGGERE D'Y METTRE FIN. (SI VOUS LA RELANCEZ ICI, IL FAUT BIEN QUE JE VOUS REPONDE !) AMITIES -- MAX