Le madit n° 27 du 6 juillet 1997

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MADIT N° 27 DU 1997-07-06

TITRE : RELIQUATS SUITE

EST UN RELIQUAT, CAR ALORS IL SERAIT IMP LICITE, N'EST-CE PAS ? GANDALF, QUI VA U NE FOIS DE PLUS REMMETTRE SES RELIQUATS AU PANIER

AH NON, GANDALF, CE N'EST PAS CE QUE J'AI DIT (OU COMPRIS D'APRES VOS MESSA- GES PRECEDENTS). D'ABORD, JE N'AI JAMAIS DIT NI LAISSE ENTENDRE QUE LES RELIQUATS ETAIENT DES MOTS. ENSUITE, LE FAIT QU'IL PUISSE S'AGIR D'ELEMENTS DECOULANTS DE VOS DECRYPTAGES NE LEUR DONNE CERTAINEME NT PAS LA QUALITE "D'EXPLICITE" A L'EX- CLUSION DE TOUTE AUTRE CONSIDERATION. SI VOUS VOUS DITES : "POUR ALLER DE PARIS A MARSEILLE JE PASSE PAR LYON", LYON EST AUSSI EXPLICITE ET IMPLICITE QUE PARIS ET MARSEILLE. LE FAIT D'APPE- LER LYON "UNE VILLE" (VOTRE EXEMPLE DE FRUITS ROUGES) NE LUI ENLEVE PAS SA QUA- LITE "D'EXPLICITE". JE NE VOUDRAIS PAS QU'IL Y AIT UN MALENTENDU ENTRE NOUS A CE SUJET. LES RELIQUATS SONT DES CHOSES NETTES ET REELLES, ET NON DES IDEES OU DES CONCEPTS FUMEUX SI VOUS PREFEREZ. MAIS RIEN NE S'OPPOSE A CE QU'ILS RELE- VENT AUSSI DE LA DEDUCTION. (CE QUI NE CONFIRME PAS LE FAIT QUE CE SOIT LE CAS !) AMITIES -- MAX