Le madit n° 5 du 16 avril 1997

JE REPONDS A L'EXPLICITE, PAS A L'IMPLI- CITE, ET JE NE CORRIGE PAS LES PETITIONS DE PRINCIPE ! LA QUESTION N'ETAIT D'AILLEURS PAS "Y A-T-IL UNE MULTITUDE DE SENTINELLES !" MAIS CETTE PROPOSITION ETAIT NOYEE DANS UNE QUESTION QUI N'AVAIT STRICTEMENT RIEN A VOIR AVEC LE FAIT QU'ILPUISSE OU NON Y EN AVOIR UNE MULTITUDE. EXCUSEZ-MOI, MAIS CE N'EST CERTAINEMENT PAS AINSI QUE VOUS TIREREZ QUOI QUE CE SOIT DE MES REPONSES. VOUS COMPRENEZ BIEN QUE JE NE PEUX PAS "CORRI GER" LES QUESTIONS MAL POSEES, OU CELLES QUI - COMME ICI - CONTIENNENT DES ELE- MENTS QUI N'ONT QU'UN RAPPORT LOINTAIN AVEC LA QUESTION POSEE. JE REPONDS A LA QUESTION STRICTO SENSU, SON FOND, ET PAS SUR SA FORME (OU ALORS, JE COMMANDE MON CERCUEIL DEMAIN MATIN !). CELA DIT, AYANT A DE MULTIPLES REPRISES PRECISE QU'IL Y AVAIT D'AUTRES SENTINELLES SIMILAIRES EN FRANCE ET AILLEURS, LE MOT "MULTITUDE" NE ME POSE AUCUN PROBLEME. MAIS IL PEUT VOUS EN POSER, A VOUS, SI VOUS EXTRAPOLEZ UNE REPONSE POSITIVE SUR UN POINT PRECIS A UN ELEMENT DE LA QUES- TION QUI LUI EST ETRANGER. EN REVANCHE, JE CONFIRME "BON GRAIN DE L'IVRAIE", ET AJOUTERAI : CQFD ! AMITIES -- MAX